Père Henri Martin
Présentation du Père Martin datant de 2015.
L’Église Universelle (Catholique) comporte plusieurs rites avec 12 familles principales, elles mêmes subdivisées en une soixantaine de particularités : on peut nommer le rite Arménien, répandu dans le monde entier, les Églises greco-catholique, de Syrie, copte, de Milan, gallicane…
L’Église gréco catholique ukrainienne a presque 5 millions de fidèles dans le pays et autant répandus dans le monde entier. Je suis incardiné à cette Eglise.
Dès le début, j’ai exercé mon ministère sacerdotal dans le rite latin.
J’ai été curé en Géorgie puis à Moscou où j’ai enseigné au collège catholique St Thomas d’Aquin.
Puis j’ai travaillé en Biélorussie dans une paroisse greco-catholique.
Et à cause de ma santé, j’ai pris une année sabbatique à Varsovie, auprès de ma maman polonaise.
Ensuite, avec la permission du cardinal NYCZ, j’ai travaillé dans la paroisse latine de la Miséricorde de Dieu et de Sainte Faustine, jusqu’à l’année passée.
Attiré par la prière d’oraison, surtout celle du monastère du Broussey, j’ai décidé de faire une demande pour entrer dans l’ordre séculier des Carmes.
Je me suis adressé au cardinal Jean-Pierre RICARD pour avoir la permission de m’installer dans le diocèse et accomplir les ministères pastoraux nécessaires.
En tant que prêtre de rite oriental, je suis marié car selon les traditions des plus anciennes des Eglises Orientales, les prêtres, comme Saint Pierre l’Apôtre d’ailleurs, peuvent être mariés.
Un homme marié peut être ordonné prêtre, un célibataire garde le célibat après avoir été ordonné.
Actuellement, je suis aumônier dans le monde de la santé depuis le 15 janvier 2015 sur Bordeaux et je réside parmi vous à Fargues
Père Henri Martin.